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L'axe Transformations, inégalités, résistances
Publié le 20 décembre 2017 – Mis à jour le 2 février 2022
Cet axe s’adresse à l’ensemble des sciences humaines et sociales, entendues au sens large, de l’anthropologie aux sciences de l’information en passant par la sociologie, les sciences politiques, l’histoire, la géographie, la philosophie, le droit, l’économie et la gestion.
Par définition, les transformations sociales contemporaines, les inégalités et les résistances qu’elles suscitent relèvent de questions d’actualité et interpellent du point de vue de la recherche comme de l’enseignement. L’axe « Transformations, inégalités, résistances » (TIR) les appréhende de différentes façons pour créer des liens interdisciplinaires en interactions avec les étudiants.
Le travail, les trajectoires étudiantes et les mobilisations sociales constituent des objets essentiels pour l’axe, dans une approche intersectionnelle attentive aux dominations et aux résistances. L’axe fonctionne non seulement sous la forme de séminaires de recherche thématiques, mais aussi d’ateliers de travail, au sein desquels émergent, s’élaborent et se discutent des projets de recherches collectives.
Au-delà, l’axe souhaite sensibiliser aux inégalités et approfondir ces questions dans la recherche, pour comprendre ce qui se joue dans différentes dimensions de la vie des individus (les études, le travail, la santé, etc.). Ainsi, l’axe prend notamment en charge la mise en relation de chercheurs intéressés par la perspective intersectionnelle pour appréhender leurs objets d’étude.
Des chantiers ont été ouverts sur le travail et les trajectoires étudiantes avec l’ambition de construire des projets de recherche collectifs. Les travaux et réflexions de l’axe ont vocation à irriguer l’ensemble de l’université afin qu’elle réfléchisse sur elle-même, de lancer des collaborations transversales qui impliquent aussi les étudiants, et de faire du lien avec le monde social (notamment local) où elle s’insère.
Enfin, les travaux de l’axe s’articulent à la recherche internationale dont ses membres sont partis prenantes et qui l’alimentent en retour. Par recherche internationale, s’entend non seulement les travaux des pays des Nords, notamment anglophones, mais aussi ceux des Suds. Pour cette raison, l’axe est impliqué dans la structuration de l’EUR FRAPP.
Le travail, les trajectoires étudiantes et les mobilisations sociales constituent des objets essentiels pour l’axe, dans une approche intersectionnelle attentive aux dominations et aux résistances. L’axe fonctionne non seulement sous la forme de séminaires de recherche thématiques, mais aussi d’ateliers de travail, au sein desquels émergent, s’élaborent et se discutent des projets de recherches collectives.
Objectifs de l’axe
L’ambition première de cet axe est de mieux faire circuler les informations, d’échanger puis de faire travailler l’ensemble des chercheurs qui se sentent concernés par ces questions. La diversité des composantes, laboratoires, disciplines, objets ou méthodes de recherche est considérée comme une richesse mais suppose de prendre le temps pour que l’interdisciplinarité ne soit pas artificielle.Au-delà, l’axe souhaite sensibiliser aux inégalités et approfondir ces questions dans la recherche, pour comprendre ce qui se joue dans différentes dimensions de la vie des individus (les études, le travail, la santé, etc.). Ainsi, l’axe prend notamment en charge la mise en relation de chercheurs intéressés par la perspective intersectionnelle pour appréhender leurs objets d’étude.
Des chantiers ont été ouverts sur le travail et les trajectoires étudiantes avec l’ambition de construire des projets de recherche collectifs. Les travaux et réflexions de l’axe ont vocation à irriguer l’ensemble de l’université afin qu’elle réfléchisse sur elle-même, de lancer des collaborations transversales qui impliquent aussi les étudiants, et de faire du lien avec le monde social (notamment local) où elle s’insère.
Enfin, les travaux de l’axe s’articulent à la recherche internationale dont ses membres sont partis prenantes et qui l’alimentent en retour. Par recherche internationale, s’entend non seulement les travaux des pays des Nords, notamment anglophones, mais aussi ceux des Suds. Pour cette raison, l’axe est impliqué dans la structuration de l’EUR FRAPP.
Comité d’animation
Afin d’accompagner les porteurs de l’axe dans leur mission, un comité d’animation désigné par les porteurs et validé par le Conseil académique a été mis en place. Ce comité se réunit régulièrement afin de proposer des actions autour de l’axe, de donner un avis sur les projets déposés dans le cadre de l’AAP BQ-ER faisant référence à l’axe et d’accompagner dans leur réflexion les porteurs de projets. Il est composé d’enseignants, enseignants-chercheurs et de personnels administratifs.Composantes et laboratoires impliqués dans les travaux
- UFR de Droit ;
- Institut National Supérieur du Professorat et de l’Education (INSPé) ;
- UFR Sciences économiques et de gestion (FSEG) ;
- UFR Langues, Lettres et Sciences Humaine (LLSH) ; ;
- Centre d'Étude des Discours, Images, Textes Écrits, Communication (CEDITEC) ;
- Centre de Recherche en Histoire Européenne Comparée, de l’antiquité à nos jours (CRHEC) ;
- Equipe de Recherche sur l'Utilisation des Données Individuelles en lien avec la Théorie Économique (ERUDITE) ;
- Institut des Mondes Anglophone, Germanique et Roman (IMAGER) ;
- Institut de Recherche en Gestion (IRG) ;
- Laboratoire d’urbanisme (Lab’urba) ;
- Laboratoire Interdisciplinaire d’Etudes du Politique Hannah Arendt de Paris Est (LIPHA) ;
- Laboratoire interdisciplinaire de recherche sur les transformations des pratiques éducatives et des pratiques sociales (LIRTES) ;
- Marchés, Institutions, Libertés (MIL) ;
- Lettres, Idées, Savoirs (LIS).
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