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François, professeur en activité physique adaptée

Publié le 20 avril 2011 Mis à jour le 3 février 2022

Après une licence STAPS à la Faculté de sciences de l’éducation, sciences sociales et Staps de l’Université Paris-Est Créteil, François est devenu professeur en activité physique adaptée au Centre hospitalier de Gonesse. Retour sur son parcours...

François, professeur en activité physique adaptée
Plus jeune il rêve de devenir professeur d’éducation sportive ou psychomotricien pour un public handicapés auprès duquel il travail déjà ponctuellement dans une association. La filière Staps proposée à l’UPEC est donc une évidence pour lui : « je savais de toute façon qu’elle m’offrirait des débouchés, qu’elle m’ouvrirait des horizons divers, que j’aborderai des matières différentes qui me permettraient ensuite de trouver un emploi.»

François Forin effectue donc sa Licence Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives avec bonheur. « L’offre de formation est très intéressante, on aborde tant les sciences dures que les sciences humaines, il y a une forte interactivité avec les enseignants qui sont de grande qualité et disponibles, on a des stages qui nous permettent de lier théorie et pratique. » souligne-t-il. En permanence actif, François Forin apprécie particulièrement « l’organisation et les propositions de l’institution qui sont en adéquation avec les attentes des étudiants. »

Il complète néanmoins sa Licence par un Master 2 « Vieillissement, handicap : mouvement et adaptation » réalisé à Orsay. « Ce Master 2 n’existait pas à l’époque à Créteil » précise-t-il. Son emploi, il le trouve relativement facilement à l’Hôpital de Gonesse : « à la fac on apprend à avoir une forte autonomie de travail, donc une grande capacité à trouver un emploi ».

En tant qu’Educateur médico-sportif, il intervient dans deux services bien différents : médecine physique et réadaptation pour les «accidentés de la vie », et dans le service de gériatrie auprès de personnes âgées avec un vieillissement pathologique ou non.
Dans les deux cas, son métier consiste à réapprendre et/ou à favoriser la quantité de mouvements à ses patients.

« Un métier passionnant » s’exclame-t-il, avant de conclure : « En interne certaines personnes étaient réfractaires à mon arrivée. Et aujourd’hui elles se rendent  compte de mon utilité, des bénéfices sur les patients, et ne veulent pas me voir partir ! » Pourtant, lui y songe : il vient de passer son CAPES de professeur d’EPS, son deuxième métier rêvé.


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